Hier matin, un homme bien ne s’est pas réveillé.
Un hommage sans filtre à un François, par celui grâce à qui j'ai eu le plaisir de faire sa connaissance à ces Paris Carnet si plaisants.
Dans mon esprit, intacts, son sourire et sa voix. Des larmes de peine et une pensée un peu rageuse à cause du mot virtuel que je hais tant lorsqu'il utilisé à tort et à travers, avant même que je ne lise cette lettre à Paco. Un deuil de notre blogosphère, virtuels ni l'un ni l'autre.
Bises à Luce et Louise, il y a des gens partout sur la Toile qui pensent à vous.
On se connaît peu mais je ne suis pas étonnée du tout que ce "virtuel" nous enrage de la même façon, particulièrement en ce moment.
Bien sûr.
Il y a des gens partout dans le monde qui pensent à elles, à François, c'est aussi "beau dans les larmes", je trouve. Quelque chose de formidablement humain qui lui ressemble tant.