Teuheu, teuheu

Je sais que ce genre de pathologie se traite par le respect mais mon offre tient toujours. J'y ajoute le traitement des quintes de toux explosives qui accompagnent toujours mes rhino-pharyngites et qui me font passer des nuits quasi blanches.

Le côté positif c'est que je n'attrape désormais ce genre de chose qu'à Paris ou au retour (20h dans un sèche-cheveux volant à respirer les miasmes des autres ça doit bien valoir le RER au niveau sanitaire), ou au changements de saison. Comme il n'y a que deux saisons ici sans brusque transition, ça veut dire une ou deux fois par an, au lieu d'une fois par mois quand je me déplaçais en métro.

Ça aurait pu être pire, une amie d'un quartier voisin a attrapé la dengue :-(. Vu mon rythme de production ce matin, je vais appliquer demi-tarif sur mon taux horaire :p.