Il paraît que bien manger, boire et s'amuser peut permettre de vivre 14 ans de plus. Apparemment ça ne réussit pas à tout le monde.
P.S. en attendant, moi je poursuis le régime « 5 fromages et charcuteries différents par jour » préconisé par l'ami Joël Ronez.
pas grand-chose à voir avec celui-là de tes billets, juste une question pratique : (re)tombée par hasard de recherche au sujet de son nouveau roman, sur l'un d'eux dantant de 2003 et concernant Philippe Besson, j'ai voulu y laisser un commentaire (rien d'impérissable, je te rassure), mais ça n'a pas fonctionné. Je me demandais juste si c'était parce que tu avais volontairement et par prudence fermé les commentaires des anciens billets ou si c'était un truc quelconque qui n'avait ponctuellement pas fonctionné.
J'ai lu le contraire de cette préconisation dans la respectable revue Sciences et Vie (celle sur papier, je sais je suis terriblement has been). Il faudrait s'arrêter de manger avant la satiété pour vivre plus longtemps. C'est grâce à un régime de ce type que l'île d'Okinawa, au Japon, possède le record mondial de centenaires : on y arrête le repas une fois parvenu à 80% de la ration ordinaire.
Dur.
Du coup ta propre règle de vie prend tout son sens : ne vaut-il mieux pas vivre moins longtemps en profitant des plaisirs de la bonne chère ?
@Le Caphar : ma formulation ironique ne doit pas laisser entendre que bien rime avec beaucoup, dans l'esprit des auteurs de cette étude, il s'agit de qualité. Je crois qu'il y a un certain consensus (pouf pouf) sur le fait qu'il ne faut pas abuser, ceci dit il aura fallu des années d'études aux américains pour comprendre que le paradoxe français semble se résumer à une chose : manger de tout est bon à condition de ne pas manger plus que nécessaire.