Paris Carnet du 1er mars 2006 - Café Delmas rime avec grimaces

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L'absence d'organisation formelle des rencontres Paris Carnet a un avantage : on peut se réorganiser en un clin d'oeil quand le lieu d'accueil choisi se révèle inhospitalier. Le côté démocratique a par contre quelques inconvénients (comme dit Laurent, rien ne vaut la dictature) et montre, s'il en était besoin, les limites de la sagesse des foules dans le choix au débotté d'un nouveau lieu :-P. Je me joindrais donc à d'autres témoins pour déconseiller fortement la fréquentation du Café Delmas (qui rime avec grimaces), place de la Contrescarpe, où au moins l'un des serveurs (pas tous) est l'archétype parfait du garçon de café antipathique, en plus d'être maladroit. Il a commencé par renverser une partie de la Guinness de Cossaw sur ma veste sans s'excuser, pour finir par renverser l'intégralité d'une tasse de chocolat sur celle de Brol tout en ayant le culot, non seulement de ne pas s'excuser, mais de le prendre de haut en rejetant la faute sur... nous (dommage, parmi les quatre ou cinq témoins, il y avait deux avocats) !

Un grand merci à Cossaw et à Veuve Tarquine pour la Guinness et le chocolat chaud (j'étais parti sans le sou).